Miroir, mon beau miroir,
reflet, mon cher reflet.
Je te félicite de me ressembler.
J'aime mon toi.
Tu es merveilleuse.
Merci.
O comme tu es belle.
Cette robe nous va tellement bien.
Et regarde notre c(h)oeur. Quelle grâcieuseté.
"Il"(s), "elle"(s) quelle horreur!
Les frissons dans le dos, la moue de dégout , les cils méprisants, le crâne sensible, la poitrine soulevée.
"Il"(s), "elle"(s) quelle horreur!
La différence est moche à voir. On ne débat pas avec elle, quelle idiotie! On la limite. Avec des petits pointillés précis et aiguisés. Souvenirs d'un autre cercle.
La différence est aut(h)oritaire. Elle s'impose in-délicatement. Elle manque cruellement de politesse/subtilité/nuance/distinction discrète. La différence devra se taire ou parler en lieu sûre.
La différence est monstrueuse. Elle nous renvoie à nous même. A nos solitudes/pauvretés/bornages. L'insupportable frontiére de notre peau. La différence sera limée.
Mais singulière. quel joli mot...
écoutez le....sin gu lière...et claque la langue...
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